Construite en 2007 à l'image de la capitale française, Tianducheng peine à attirer des habitants.
Le quartier de Tianducheng, le 1er août 2013. (ALY SONG / REUTERS)
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La Tour Eiffel, des immeubles haussmanniens,
des parcs et des cafés... A première vue, Tianducheng, un quartier de la
banlieue de Hangzhou (Chine) construit en 2007, est une parfaite copie
de Paris. Sauf que contrairement à la capitale française, ses rues sont
vides.Une femme se promène, le 1er août 2013 à Tianducheng (Chine). (ALY SONG / REUTERS)En six ans, relève le site quartz.com(en anglais),
le quartier résidentiel n'a attiré que 2 000 des 10 000 habitants
attendus. Son promoteur, Zhejiang Guangsha Co. Ltd, a eu les yeux plus
gros que le ventre. L'un des rares habitants du quartier, le 1er août 2013 à Tianducheng (Chine). (ALY SONG / REUTERS)Selon les médias locaux, Tianducheng a rejoint la
longue liste des villes fantômes chinoises. Ces villes désertes sorties
de terre en quelques mois symbolisent le gaspillage et l'endettement
des gouvernements locaux dans le pays. La plus célèbre, Ordos, en Mongolie Intérieure, est devenue un paradis pour skater en manque d'espace. Une paysanne cultive son champ , le 1er août 2013 à Tianducheng (Chine). (ALY SONG / REUTERS)
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